Carte postale du sud-est des États-Unis – 2012

Melinda et mois nous sommes revues au bout de 25 années. Pas certaine de comment on a fait pour se retrouver ensemble en Caroline du sud. Je crois que ça a à voir avec ce qu’on a en commun: un enthousiasme contagieux, plein d’idées pour changer le monde, révolutionner l’économie globale, les systèmes sociaux, etc. et s’assurer que chaque sujet traité soit accompagné du le vin approprié.

 

Tandis que nous gérons notre presbytie différemment, la vie a été semblable pour nous deux à bien des égards, et nous nous retrouvons pour partager comme des soeurs le dernier bout de chemin. Nous avons passé une semaine ensemble, et avons apprécié chaque moment.

 

 

Charleston SC

 

Appelée la « ville sainte », Charleston a été le point central de la révolution américaine. Par deux fois, la ville a été la cible des attaques britanniques. Les britanniques auraient surestimé le nombre de royalistes en ce coin de globe. Des forts furent érigé pour défendre la nation. En 1773, l’invention de la « machine à coton » révolutionna la production de coton, et l’exportation de coton devint le principal produit d’exportation de la Caroline du sud. Les esclaves constituaient la source principale de main d’oeuvre. En 1822, une révolution esclave mena à une restriction importante des noirs libres et des esclaves.

 

Le premier village anglo-saxon en Caroline du Sud s’établit sur la côte en 1670. Si les 30 premières années furent infructueuses, on découvrit autour de 1700 que le riz en provenance d’Asie se cultivait bien dans la vallée marécageuse côtière. Durant tout le 18ème siècle, l’économie de la Caroline du Sud reposa largement sur la culture du riz.

 

Contrairement à l’opinion de Melinda, Charleston bénéficie d’un climat subtropical.

 

J’y étais… avec mon t-shirt Guinness.

 

 

Plantation de magnolia

 

Après avoir été une plantation de riz, la plantation de magnolia se fit connaître pour ses jardins à partir de 1840. Il s’agit du plus vieux jardin public en Amérique.

 

Les azalées étaient en fleur.

 

Nous avons l’occasion de visiter la maison familiale. La plantation est encore détenue par les descendants de Thomas Drayton et sa femme, Ann venus de la Barbades en 1679.

 

Dans ce paradis,

 

Des alligators attendent une proie…

 

Tandis que d’autres font la sieste au soleil.

 

Nous avons croisé plusieurs arbres appelés « mousse espagnole » qui sont en réalité des chênes dont les feuilles capturent la pollution (si j’ai bien compris l’accent du sud).

 

Certains de ces arbres sont sur le site ont plus 400 ans.

 

 

Hilton Head

 

Au bout de quelques jours, nous sommes parties pour Hilton Head.

 

Jour 2, Melinda a insisté pour que nous sortions accueillir le jour. Dehors à 5h30, le soleil ne s’est véritablement levé qu’à 6h30.

 

Savannah

 

Établie en 1732, la nouvelle colonie devait servir de source d’approvisionnement additionnel en ressources naturelles à l’Angleterre. La constitution de la nouvelle colonie interdisait l’esclavage, les avocats, les catholiques et les alcools. Au fil du temps, ces interdits tombèrent les uns après les autres.

 

Le nouveau pout Eugene Talmadge:

 

Et le quartier historique.

 

L’hôtel de ville tout au bout de « Bull » street.

 

En bordure de la mer, une statue de femme. Le mari de cette femme prit la mer. Elle promit de saluer chaque bateau qui passerait au cas où son amour se trouverait à bord. Elle mourut au bout de 44 ans le coeur brisé, et les bras fatigués.

 

Les 24 places/parcs dans le centre de Savannah valent le détour.

 

 

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